37 Written explanations of Pascale PIERA

Cette proposition vise à débloquer les Fonds de solidarité de l’Union européenne (FSUE) pour soutenir les pays européens suite aux catastrophes naturelles survenues en 2023, dont la France affectée par des inondations dans le Nord-Pas-de-Calais. Je soutiens donc cet acte de solidarité essentiel pour aider à la reconstruction des infrastructures.

Cette résolution condamne les tentatives d’ingérence russe dans les élections moldaves et je soutiens la souveraineté de la Moldavie. Cependant, le texte insiste sur l’intégration de la Moldavie dans l’Union européenne laquelle comprend des financements supplémentaires. Cela va à l’encontre de nos positions contre l’élargissement de l’UE. Pour ces raisons, je me suis abstenue.

Cette résolution constitue une ingérence manifeste dans les affaires intérieures de la Géorgie à quelques semaines des élections législatives. En effet, elle remet en cause la légitimité du gouvernement actuel, élu démocratiquement. Par conséquent, je me suis abstenue.

Je me suis abstenue sur le mécanisme d’assistance macrofinancière (AMF) à l’Ukraine. Bien que nous soutenions l’aide civile, les montants engagés par l’Europe sont énormes et soulèvent des questions dans le contexte économique actuel. Il est crucial de fixer des limites pour éviter un soutien sans fin, surtout en l'absence de perspectives de résolution du conflit. Mon abstention reflète donc une position prudente en attente de solutions durables pour l’Europe.

Je me suis abstenue sur le mécanisme d’assistance macrofinancière (AMF) à l’Ukraine. Bien que nous soutenions l’aide civile, les montants engagés par l’Europe sont énormes et soulèvent des questions dans le contexte économique actuel. Il est crucial de fixer des limites pour éviter un soutien sans fin, surtout en l'absence de perspectives de résolution du conflit. Mon abstention reflète donc une position prudente en attente de solutions durables pour l’Europe.

J’ai voté contre ce projet qui promeut l’augmentation des ressources propres de l’Union et reflète la volonté de Bruxelles de procéder à une centralisation budgétaire au détriment de l’autonomie financière des États membres.

Ce budget présente d’importantes faiblesses, notamment des erreurs de prévision des ressources propres qui entraînent une charge supplémentaire pour les États membres. De plus, les hausses de financement pour certaines agences, au détriment de certains programmes essentiels, et le manque de transparence dans la renégociation du contrat de l’EMA à Londres soulignent la nécessité de faire une révision plus rigoureuse du budget. C’est pourquoi j’ai voté contre ce projet de budget rectificatif.

En votant en faveur de cette mobilisation du FEM, j’apporte mon soutien aux travailleurs belges et je réitère ma volonté que la France puisse bénéficier de dispositifs similaires en cas de crise. Bien que la condition de promotion de l’agenda de diversité dans les formations puisse poser question, ce dispositif reste indispensable pour limiter l’impact social de telles restructurations.

Le Conseil continue de refuser de répondre aux questions du Parlement européen et de se soumettre à son contrôle, ce qui empêche toute transparence. Or, les dépenses du Conseil doivent être examinées au même titre que celles des autres institutions, pour garantir une information claire aux citoyens sur l’utilisation de l’argent public. Sans accès aux informations détaillées, il est impossible de prendre une décision éclairée, ce qui explique mon vote contre.

Je vote contre le budget 2025 de l’UE en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent en agriculture et en sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je vote contre le budget 2025 de l’Union en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et par les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je m’oppose à l’immixtion du Conseil et de la Commission européenne dans les politiques sociales des États membres. En effet, ces institutions tentent de renforcer l’influence de l’Union européenne et cherchent à empiéter sur les compétences souveraines des États. Par ailleurs, on retrouve dans ces lignes directrices une politique pro-immigration et incluant des éléments du pacte vert, sans aucun lien direct avec l’emploi.En cohérence avec notre ligne politique, j’ai voté contre ces orientations, défendant le respect des compétences nationales face aux pressions centralisatrices exercées par l’Union européenne.

Je me suis abstenue sur cette résolution. La sécurité des patients doit rester une priorité, mais l’excès de régulations européennes étouffe l’innovation et fragilise notre industrie de la santé, notamment pour les petites et moyennes entreprises, essentielles au secteur. Bien que cette résolution représente un premier pas vers l’assouplissement des normes, elle reste une avancée vers une centralisation bureaucratique excessive, éloignant davantage les spécificités propres à chaque État membre.

Je vote contre le budget 2025 de l’UE en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent en agriculture et en sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je vote contre le budget 2025 de l’Union en raison de ses lacunes dans la gestion des priorités financières. Ce budget alloue encore une part excessive aux politiques de migration, d’environnement et d’adhésion de nouveaux États, alors que des besoins cruciaux existent dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité des frontières. De plus, son manque de transparence, confirmé par les irrégularités relevées par la Cour des comptes européenne et par les erreurs de prévision dans les budgets rectificatifs, montre une mauvaise anticipation des besoins réels. Ce budget va à l’encontre des urgences économiques et des intérêts du contribuable européen.

Je m’oppose à l’immixtion du Conseil et de la Commission européenne dans les politiques sociales des États membres. En effet, ces institutions tentent de renforcer l’influence de l’Union européenne et cherchent à empiéter sur les compétences souveraines des États. Par ailleurs, on retrouve dans ces lignes directrices une politique pro-immigration et incluant des éléments du pacte vert, sans aucun lien direct avec l’emploi.En cohérence avec notre ligne politique, j’ai voté contre ces orientations, défendant le respect des compétences nationales face aux pressions centralisatrices exercées par l’Union européenne.

Je me suis abstenue sur cette résolution. La sécurité des patients doit rester une priorité, mais l’excès de régulations européennes étouffe l’innovation et fragilise notre industrie de la santé, notamment pour les petites et moyennes entreprises, essentielles au secteur. Bien que cette résolution représente un premier pas vers l’assouplissement des normes, elle reste une avancée vers une centralisation bureaucratique excessive, éloignant davantage les spécificités propres à chaque État membre.

J’ai voté pour cette résolution qui dénonce fermement les opérations militaires de l’Azerbaïdjan, les exactions du régime d’Aliev et les ingérences dans les affaires de certains de nos territoires. Elle critique également la dépendance de l’UE vis-à-vis du gaz azéri, une position que nous défendons de longue date. Soutenir l’Arménie face aux agressions et renforcer nos partenariats avec elle en matière de sécurité et de défense sont essentiels pour préserver la stabilité dans la région.

Je me suis abstenue sur cette résolution. Bien que je soutienne fermement le maintien du statu quo dans le détroit de Taïwan et condamne les manœuvres militaires de la Chine qui menacent la stabilité de la région, certaines propositions du texte risquent de créer des tensions inutiles. Les appels à des visites officielles du Parlement européen à Taïwan et le soutien à son intégration dans certaines organisations internationales pourraient, en effet, déstabiliser la situation actuelle.

J’ai voté pour cette résolution qui dénonce fermement les opérations militaires de l’Azerbaïdjan, les exactions du régime d’Aliev et les ingérences dans les affaires de certains de nos territoires. Elle critique également la dépendance de l’UE vis-à-vis du gaz azéri, une position que nous défendons de longue date. Soutenir l’Arménie face aux agressions et renforcer nos partenariats avec elle en matière de sécurité et de défense sont essentiels pour préserver la stabilité dans la région.

Je me suis abstenue sur cette résolution. Bien que je soutienne fermement le maintien du statu quo dans le détroit de Taïwan et condamne les manœuvres militaires de la Chine qui menacent la stabilité de la région, certaines propositions du texte risquent de créer des tensions inutiles. Les appels à des visites officielles du Parlement européen à Taïwan et le soutien à son intégration dans certaines organisations internationales pourraient, en effet, déstabiliser la situation actuelle.

J’ai voté en faveur de ce règlement. Pour mémoire, le règlement (UE) 2023/1115 établit des règles relatives à la mise sur le marché de l’Union et à la mise à disposition sur le marché de l’Union, ainsi qu’à l’exportation à partir de l’Union, de produits en cause, énumérés à son annexe I, qui contiennent des produits de base en cause, ou ont été nourris avec de tels produits ou fabriqués à partir de tels produits, à savoir les bovins, le cacao, le café, le palmier à huile, le caoutchouc, le soja et le bois. En particulier, il vise à garantir que ces produits de base en cause et produits en cause sont mis sur le marché de l’Union, mis à disposition sur le marché de l’Union ou exportés, uniquement s’ils sont « zéro déforestation », s’ils ont été produits conformément à la législation pertinente du pays de production et s’ils font l’objet d’une déclaration de diligence raisonnée. Le règlement soumis au vote prévoit un report de douze mois permettant ainsi aux opérateurs concernés la mise en place des « systèmes de diligence raisonnée ».

J’ai voté en faveur de ce texte qui permet aux États membres de reprogrammer, dans leurs programmes 2021-2027 sous l’objectif « Investissement pour l’emploi et la croissance », les fonds destinés à la reconstruction après des catastrophes naturelles.

J’ai voté en faveur des mesures spécifiques proposées. Elles permettent aux États bénéficiaires du FEADER, frappés par des catastrophes naturelles, et n’ayant pas encore utilisé l’intégralité de leurs fonds, de débloquer le solde disponible pour fournir un soutien de trésorerie ciblé aux agriculteurs, aux exploitants forestiers et aux PME.

J’ai voté contre cette proposition. Outre qu’elle fixe des objectifs économiquement irréalistes, elle vise à renforcer le contrôle de la Commission dans un domaine qui relève par nature de la politique singulière de chaque État.

J’ai voté en faveur de ce texte.Pour mémoire, le FEM a vocation à fournir une aide complémentaire aux travailleurs subissant les conséquences de la mondialisation. Le 19 juillet 2024, la Belgique a présenté une demande en ce sens en vue d’obtenir une contribution financière du FEM consécutivement au licenciement de 681 personnes travaillant dans la société Sappi Lanaken (production de papier) et dans la société Purmo Group Belgium, (radiateurs).

J’ai voté favorablement à l’égard de ce rapport évaluant l’activité de la médiatrice européenne, Emily O’Reilly, pendant l’année 2023. Cette dernière a inlassablement fait valoir des exigences de transparence à l’égard des pratiques de la Commission.

J’ai voté contre cette proposition. Outre qu’elle fixe des objectifs économiquement irréalistes, elle vise à renforcer le contrôle de la Commission dans un domaine qui relève par nature de la politique singulière de chaque État.

J’ai voté en faveur de ce texte.Pour mémoire, le FEM a vocation à fournir une aide complémentaire aux travailleurs subissant les conséquences de la mondialisation. Le 19 juillet 2024, la Belgique a présenté une demande en ce sens en vue d’obtenir une contribution financière du FEM consécutivement au licenciement de 681 personnes travaillant dans la société Sappi Lanaken (production de papier) et dans la société Purmo Group Belgium, (radiateurs).

J’ai voté favorablement à l’égard de ce rapport évaluant l’activité de la médiatrice européenne, Emily O’Reilly, pendant l’année 2023. Cette dernière a inlassablement fait valoir des exigences de transparence à l’égard des pratiques de la Commission.

J’ai voté contre cette proposition. Une telle commission spéciale ne relève aucunement des prérogatives dévolues à l’Union européenne. Au prétexte d'imposer « la transparence de la vie politique, et de garantir un cadre informationnel" (discours d’Ursula von der Leyen -juillet 2024), l’objet de cette commission promet d’être particulièrement liberticide en matière de liberté d’expression.

J’ai voté contre cette proposition. En effet, la commission proposée couvre des domaines qui relèvent de la souveraineté nationale.

J’ai voté en faveur de cette recommandation. L’adhésion des États concernés à l’APE UE-Pacifique est un atout pour l’intégration économique régionale et de nature à favoriser l’essor économique de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie Française par la réduction des barrières commerciales et l’harmonisation des normes en vigueur.

Je me suis abstenue à l’égard de cette recommandation. Si la transparence doit en effet présider dans l’arbitrage international, la participation accrue des organisations de la société civile telle que mentionnée dans la recommandation soumise au vote présente des risques d’ingérence incontrôlés.

J’ai voté en faveur de cette recommandation. L’adhésion des États concernés à l’APE UE-Pacifique est un atout pour l’intégration économique régionale et de nature à favoriser l’essor économique de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française par la réduction des barrières commerciales et l’harmonisation des normes en vigueur.

J’ai voté en faveur de cette recommandation. L’adhésion des États concernés à l’APE UE-Pacifique est un atout pour l’intégration économique régionale et de nature à favoriser l’essor économique de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie Française par la réduction des barrières commerciales et l’harmonisation des normes en vigueur.

J’ai voté contre ce texte. Si la défense du droit des femmes est une priorité évidente, il convient d’observer que le rapport soumis au vote passe sous silence de nombreux sujets très préoccupants pour les nations européennes (influence de l’islamisme sur les droits des femmes, enjeux d’une immigration incontrôlée, etc.).