Activities of Sarah KNAFO

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O-000011/2024

Pour défendre les agriculteurs français, j’ai voté pour cette résolution qui s’oppose au projet de règlement de la Commission européenne.En effet, l’adoption du texte de la Commission reviendrait à continuer d’importer, et même à favoriser, des produits qui ne respectent pas les normes auxquelles nos agriculteurs sont soumis.Nos agriculteurs ne doivent pas subir cette concurrence déloyale, eux qui subissent les normes les plus strictes du monde.

Pour défendre les agriculteurs français, j’ai voté pour cette résolution qui s’oppose au projet de règlement de la Commission européenne.En effet, l’adoption du texte de la Commission reviendrait à continuer d’importer, et même à favoriser, des produits qui ne respectent pas les normes auxquelles nos agriculteurs sont soumis.Nos agriculteurs ne doivent pas subir cette concurrence déloyale, eux qui subissent les normes les plus strictes du monde.

Pour défendre les agriculteurs français, j’ai voté pour cette résolution qui s’oppose au projet de règlement de la Commission européenne.En effet, l’adoption du texte de la Commission reviendrait à continuer d’importer, et même à favoriser, des produits qui ne respectent pas les normes auxquelles nos agriculteurs sont soumis.Nos agriculteurs ne doivent pas subir cette concurrence déloyale, eux qui subissent les normes les plus strictes du monde.

Pour défendre les agriculteurs français, j’ai voté pour cette résolution qui s’oppose au projet de règlement de la Commission européenne.En effet, l’adoption du texte de la Commission reviendrait à continuer d’importer, et même à favoriser, des produits qui ne respectent pas les normes auxquelles nos agriculteurs sont soumis.Nos agriculteurs ne doivent pas subir cette concurrence déloyale, eux qui subissent les normes les plus strictes du monde.

J’ai voté pour ce texte.Ce règlement RDUE va imposer des règles contraignantes qui pèseront lourdement sur nos filières. Les professionnels ont d’ailleurs fait part de leur inquiétude légitime au sujet de la date d’application initialement prévue. Elle menaçait directement la filière du bois en Europe, et en particulier en France, en raison de l’incapacité technique pour la chaîne d’approvisionnement de se conformer aussi rapidement.Reporter son application est la moindre des choses pour permettre à nos professionnels de s’adapter.J’ai également voté pour les amendements de bon sens du PPE. Et la grande majorité a été adoptée ! Une majorité alternative est donc possible au Parlement européen pour la droite, contre l’écologie punitive. Avec une majorité en moyenne de 310 voix contre 305 en faveur de ces amendements, il est clair qu’aucune majorité de droite n’est possible sans le soutien du groupe ENS.

J’ai voté pour ce texte.Actuellement, un groupe restreint d’organisations institutionnelles déclare par voie papier des exonérations de TVA. Il s’agit simplement de digitaliser cette déclaration. Cela va dans le sens de la simplification et de l’allègement bureaucratique, sans risque de perte de souveraineté des États membres, au regard du périmètre impacté.

Je me suis abstenue sur ce texte.Deux des trois instruments proposés sont contestables car ils heurtent le principe de souveraineté des États membres, notamment en matière fiscale.L’objectif de simplification et de réduction de la bureaucratie serait pourtant tout à fait acceptable, s’il se réalisait en respectant les souverainetés nationales.

Je me suis abstenue sur ce texte.Aujourd’hui, la Banque européenne d’investissements (BEI) peut prêter ou investir pour l’équivalent de 250% de ses fonds propres (290%, temporairement, depuis juillet). Ce texte entend retirer cette limite de prêt statutaire.Cette mesure faciliterait les investissements de la BEI, mais la France pourrait avoir un intérêt direct en tant que second bénéficiaire du Groupe l’an dernier, le fait de pouvoir fixer son propre ratio renforcerait une fois de plus une institution de l’UE au détriment de la souveraineté française et augmenterait les dangers liés à une éventuelles crise financière.

J’ai voté contre ce texte.Certains éléments vont dans le bon sens, mais il n’en demeure pas moins que cette résolution fait toujours la part belle à l’idéologie verte et ne remet pas en cause la philosophie européenne concernant ses politiques environnementales punitives.

Je me suis abstenue sur ce texte.La mesure qui consiste à réévaluer notre coopération bilatérale avec les pays tiers est difficilement soutenable sans connaître la liste des pays et les conséquences pour la France et les Français.Enfin, la demande adressée au Conseil d’étendre les compétences du Parquet européen et la volonté de renforcer et de centraliser, au niveau de l’Union, le contrôle de la mise en œuvre sont des mesures qui contreviennent à notre souveraineté.

J’ai voté pour ce texte.Actuellement, un groupe restreint d’organisations institutionnelles déclare par voie papier des exonérations de TVA. Il s’agit simplement de digitaliser cette déclaration. Cela va dans le sens de la simplification et de l’allègement bureaucratique, sans risque de perte de souveraineté des États membres, au regard du périmètre impacté.

Je me suis abstenue sur ce texte.Deux des trois instruments proposés sont contestables car ils heurtent le principe de souveraineté des États membres, notamment en matière fiscale.L’objectif de simplification et de réduction de la bureaucratie serait pourtant tout à fait acceptable, s’il se réalisait en respectant les souverainetés nationales.

Je me suis abstenue sur ce texte.Aujourd’hui, la Banque européenne d’investissements (BEI) peut prêter ou investir pour l’équivalent de 250% de ses fonds propres (290%, temporairement, depuis juillet). Ce texte entend retirer cette limite de prêt statutaire.Cette mesure faciliterait les investissements de la BEI, mais la France pourrait avoir un intérêt direct en tant que second bénéficiaire du Groupe l’an dernier, le fait de pouvoir fixer son propre ratio renforcerait une fois de plus une institution de l’UE au détriment de la souveraineté française et augmenterait les dangers liés à une éventuelles crise financière.

J’ai voté contre ce texte.Certains éléments vont dans le bon sens, mais il n’en demeure pas moins que cette résolution fait toujours la part belle à l’idéologie verte et ne remet pas en cause la philosophie européenne concernant ses politiques environnementales punitives.

Je me suis abstenue sur ce texte.La mesure qui consiste à réévaluer notre coopération bilatérale avec les pays tiers est difficilement soutenable sans connaître la liste des pays et les conséquences pour la France et les Français.Enfin, la demande adressée au Conseil d’étendre les compétences du Parquet européen et la volonté de renforcer et de centraliser, au niveau de l’Union, le contrôle de la mise en œuvre sont des mesures qui contreviennent à notre souveraineté.

J’ai voté pour cette résolution car je refuse l’importation de produits issus d’OGM dont la culture est interdite en France. Cette concurrence déloyale défavoriserait encore nos agriculteurs.

J’ai voté contre le collège des commissaires d’Ursula von der Leyen.J’ai écouté les auditions des commissaires et j’ai lu leurs réponses aux députés européens. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ne m’ont pas convaincue. Cette Commission inscrit son action dans la continuité de la précédente, c’est-à-dire tout ce contre quoi je me bats :-c’est une Commission qui défend une idéologie qui a déjà fait beaucoup de mal à notre industrie, avec trois commissaires anti-nucléaire,-c’est une Commission qui n’entend pas changer de cap sur le sujet, puisque Stéphane Séjourné, le commissaire chargé de la prospérité et de l’industrie nous a annoncé que sa première mission serait « d’intégrer la perspective de genre dans l’industrie »...-c’est une Commission qui n’entend pas lutter contre l’excès de normes qui pénalise chacun des pans de notre économie, en premier lieu les agriculteurs et les industriels,-c’est une Commission qui n’annonce rien de clair ni d’ambitieux pour lutter contre l’immigration.

J’ai voté pour la modification de ce règlement, afin de lutter contre les contournements des restrictions d’entrée sur le territoire européen.En effet, l’État du Vanuatu permet aujourd’hui à tout individu qui investit un certain montant sur son territoire d’obtenir la nationalité et ainsi, de bénéficier de l’exemption de visa pour entrer dans l’espace Schengen. Du fait de ces détournements, il faut donc mettre fin à cette exemption de visas.

J’ai voté pour ce texte, afin de défendre les pêcheurs français contre des modalités d’interdiction de pêche disproportionnées dans le golfe de Gascogne. Protéger les dauphins est un impératif que les pêcheurs français ont en tête.

J’ai voté pour car le Fonds de solidarité de l’UE permet aux États membres de récupérer, pour des raisons légitimes, une partie du budget qu’ils ont consacré à l’UE. Quand une région est touchée par une catastrophe, comme l’Allemagne et l’Italie lors des inondations et tempêtes cette année, elle doit rapidement pouvoir bénéficier de cette aide.

J’ai voté contre ce texte, car je m'oppose à accorder à l'Union européenne une plus grande autonomie financière, avec des ressources propres qui échapperaient au contrôle des États membres.

J’ai voté contre ce texte. Le projet de budget 2025 ne répond pas aux urgences pour l’Europe. Il ne renforce pas la sécurité et le contrôle des frontières. Il ne soutient ni la souveraineté énergétique ni la compétitivité industrielle. Dans le même temps, on augmente les crédits sur des dépenses inutiles. Aucun effort en matière de réduction des dépenses n’est entrepris par l’Union européenne, à l’heure où l’on impose de nombreux sacrifices aux Européens.

Je me suis abstenue sur ce texte car :– Plusieurs parties du texte sont problématiques. Il invite l’Union et ses États membres à livrer des missiles à longue portée (art. 13) et il souhaite que la Corée du Sud, en fournissant des armes, devienne un belligérant dans le conflit (art. 28): ces dispositions présentent un grave risque d’escalade qui inquiète, à raison, tous les peuples européens.– Ce texte réclame également de nouvelles sanctions contre la Russie, en refusant toute analyse sur les conséquences économiques et sociales pour les Européens (art. 14);– Néanmoins, je suis favorable aux parties du texte qui appellent à tout mettre en œuvre pour que la guerre cesse rapidement, et qui invitent au dialogue entre les belligérants.

Ce texte voulait interdire la cigarette dans les espaces publics extérieurs, y compris les terrasses ou les arrêts de bus. Je m’y suis opposée pour plusieurs raisons:– pour défendre ce qui reste de liberté aux douze millions de fumeurs français. Ce ne sont pas des parias, et il doit rester du domaine de la politesse, et non de la norme, de ne pas rejeter sa fumée en incommodant son voisin;– pour empêcher l’Union européenne de prendre des décisions hors de son champ de compétences: la santé doit rester une prérogative des États;– car cette interdiction aurait fortement pénalisé les bars, les restaurants et autres lieux de convivialité, que l’Union européenne assomme de nouvelles normes chaque année (récemment encore, en interdisant le chauffage en terrasse);– car ce texte visait également la cigarette électronique (mais pas le cannabis…), alors qu'en termes de santé publique, la cigarette électronique est une méthode efficace pour réduire la consommation de tabac, et sa dangerosité pour les fumeurs passifs n’est pas scientifiquement démontrée.Pour toutes ces raisons, je me réjouis d’avoir permis, avec les autres groupes de droite, de rejeter ce texte.

E-001546/2024

E-002029/2024

B10-0171/2024

2024/2109(INI)

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